Le blog de Thierry

Chanson exquise ….

Garde bien ta voix, ma Candy

Suit bien cette musique aussi.

Comme une déclaration promise

Tu voulais un texte, le voici,

Chantant l’Amour et l’Amitié, aussi

Une douce ballade improvisée...

Pas une minute qui nous soit prise.

Certains diront qu’on sait aimer

Sur une tendre chanson exquise

Entonne ta voix

Pour que l’histoire s’éternise

Mais la nôtre, pas !

Et quand survient déjà le soir

Et que le texte est enfin là,

Toi ma Candy ...

Moi le Papy ...

Toi si belle et moi si las

La muse en laquelle je crois

Et qui jamais ne se trahit,

Sors de tes lèvres, cette douce voix

Et c’est mon coeur qui réagit

Sur cette tendre chanson exquise

Qu'entonne ta voix

Pour que l’histoire s’éternise

Mais la nôtre, pas !

Garde bien ta voix, ma Candy

Et chante aussi fort que tu peux

Est ce que ton rêve se réalise ?

Les sons qui passent ente nous deux...

Il y a ces mots qui nous unissent

Ces images qui en sortant, nous invitent

Nous séduisent et nous ravissent

Avec ta voix maintenant

Sur cette tendre chanson exquise

Suit bien ta voie

Pour que ton rêve s’éternise

Et Merci pour Léa

Les Ailes d'un Ange

Contre les pleurs d'un Démon

C'est ainsi qu'Elle se venge

Elle en oubliera son nom ...

Sa route est semée d'histoire sans lendemains

De joies éphémères, de personnes sans visage

Elle aurait tant voulu qu'il la prenne par la main

Lui, qui n'avait plus les pieds sur Terre, ni la tête dans les nuages

Les Ailes d'un Ange

Contre les pleurs d'un Démon

C'est ainsi qu'Elle se venge

Elle en oublie son nom ...

Il lui parlait des Etoiles qui deviendraient ses domaines

Que pour Elle, la Lune garderai ses rondeurs

Les diamants ne brilleraient jamais autant que ses "je T'aime"

Et le Soleil effacera éternellement ses peurs

Les Ailes d'un Ange

Contre les pleurs d'un Démon

C'est ainsi qu'Elle se venge

Elle en a oublié son nom ...

Il s'assoit au bord du Monde et attend la fin

Ses yeux ont la couleur de la mer déchainée

Des vagues coulent au creux de ses mains

Lui qui pensait enfin sa quête terminée

L'envol d'un Ange

Contre les larmes d'un Démon

C'est ainsi qu'Elle se venge

Si vous le savez, dites moi son nom ...

Un proverbe dit qu'une vie dure 60 minutes. Voilà qu'à ce jour, l'aiguille des secondes a fait 50 fois le tour du cadran. Je voudrais savoir ce que nous réservera les 10 dernères secondes ?

Je pense, parfois, qu'il serait judicieux d'être fixé avant les derniers pas, pour pouvoir se mettre en quête de l'essentiel.

Oh ! bien sûr, nous ne voyons jamais le mur, et nous aimons imaginer ce qu'il nous cache ... sans regarder de l'autre coté cependant.

Et le mur ? me direz vous ! Ce mur ... C'est la ligne qui sépare les autres de soi. Ce mur se construit par chacun, y

déposant sa pierre, une à une ... Pour se protéger, s'isoler, s'enfermer etc...

Nous sommes tous, à quelques exceptions près, les maçons de notre vie ! Les quelques exceptions sont des voyageurs. J'aurais aimé être de ceux là dès la première seconde de ma vie.

Un voyageur ne construit pas de frontières, il les traverse en semant et récoltant çà et là des idées, des fleurs, des espoirs.

Il a cependant des ennemis : les Maçons, qui veulent l'enfermer dans des tours de rêves, des palais de mensonges. Ils le retiennent dans leurs griffes d'acier et de verre. Lui vendent de faux espoirs, des besoins éphémères.

Ce matin, lorsque ma montre a sonné ses 50 coups, je me suis éveillé. Sortir d'un long sommeil est douloureux.

J'ai vu quelques voyageurs ... en faisais tu parti ? J'ai déposer ma montre, ne pris aucun bagage, laissant derrière moi le superflu. D'abord un pas ... hésitant ... puis un autre, ensuite tout va tout seul, enfin presque !

Mes chaines se sont brisées, car j'avais oublié où j'avais caché les clefs.

Les maçons, avec leurs cris, leurs menaces et leurs pleurs ont voulu me retenir. Un des leurs partant, ce sont des pierres en moins dans leurs coeurs et sur leurs murs. Plus j'avancerais, moins le poids de leur fardeau se fera sentir. Je ne veux plus de leurs villes de chimères, de leurs barreaux aux fenêtres, de leurs barbelés, où les rires des enfants se sont transformés en pleurs des parents ! Même le bruit du vent et les chants des oiseaux n'ont plus le droit de cité, ailleurs que dans leurs réserves.

Lorsqu'enfin j'atteindrais le chemin, j'espère croiser le tien et faire quelques pas à tes cotés, le temps qu'il faudra.

Peut être les 10 dernières minutes ...

La vie ne dure que 60 minutes, que ferons nous des 10 dernières secondes ?

23 mai 2011

Qui était Elle ?

Etait elle jeune ou bien vieille ?

Peu importe, la Dame à la faux n'est jamais belle

Qui était Elle ?

Sa Mort a peut être croisé mon chemin

Sa Vie si courte, a chamboulé mon destin

Qui était Elle ? 

Moi qui pour Elle, n'était rien

Aurais-je soigné son chagrin ?

Qui était Elle ?

Montée sur ce toit, loin de tout,

Sous les cris, les larmes de Nous

 Qui était Elle ?

A t'Elle fait ce pas en avant ? en arrière ?

Comment est Elle redescendu sur terre ?

Les Dieux lui avaient enlevé ses ailes

Mais qui était  Elle ?

Qui était Elle ?

 Etait elle jeune ou bien vieille ?

Qu'importe ! sa vie n'était pas douceurs et dentelles

Chaque jour que mes pas me porteront

Dans cette rue Pérignon

Je me poserais cette question :

Qui était Elle ?

Qui était Elle ?

Qui ...?

Paris15 - Rue Pérignon - 15/06/2010 - 17h30 environ !